Un sain investissement

Nous croyons qu’une vie active est une vie plus saine et nous continuerons à travailler avec nos partenaires pour veiller à ce que tout le monde ait une chance égale de profiter des nombreux bienfaits de l’activité physique.

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Inciter les personnes vivant au Canada à l’action

Depuis plus de 50 ans, ParticipACTION, chef de file canadien crédible et reconnu en matière d’activité physique, travaille avec le gouvernement du Canada et ses partenaires dans le secteur du sport, de l’activité physique et des loisirs pour aider les personnes vivant au Canada à rester actives et en bonne santé.

Nous remercions le gouvernement du Canada pour qui nous permet de concrétiser nos stratégies nationales de participation et de promotion de l’activité physique.

Nous continuons à plaider en faveur d’un investissement soutenu dans la mise en œuvre de politiques et d’interventions efficaces à l’échelle nationale, guidés par un nouveau plan stratégique pour inciter tous les habitants du Canada à l’action!

Le Canada est confronté à une crise de l’inactivité physique.

Ce n’est pas le moment de réduire les investissements, au contraire! Les gouvernements doivent réinvestir dans l’activité physique, car nous connaissons déjà les conséquences d’une population inactive. D’un point de vue économique, l’inactivité physique coûte à notre système de santé plus de 5 milliards de dollars par an, et des milliards d’autres en perte de productivité.

L’inactivité physique constitue un enjeu de santé publique omniprésent qui doit être reconnu comme une priorité nationale dès aujourd’hui.

Les personnes vivant au Canada ne bougent pas assez, peu importe l’âge ou la catégorie démographique. En effet, près de la moitié des adultes (49 %) et seulement 28 % des enfants et des jeunes respectent les recommandations nationales en matière d’activité physique. Les groupes issus de minorités ethniques, les femmes et les filles, les nouveaux arrivants au Canada, les personnes ayant des limitations et les membres des communautés 2ELGBTQQIA+ et autochtones affichent des taux de participation à l’activité physique encore plus faibles, ce qui expose ces groupes privés d’équité à un risque accru de problèmes de santé et de décès prématuré.

Mieux vaut investir que guérir.

Un récent rapport de l’Organisation mondiale de la santé (OMS) indique que : « Il y a peu de domaines de la santé publique comme celui de l’activité physique où les données sur les mesures à prendre fournissent des preuves aussi convaincantes de la rentabilité et de l’utilité pratique de ces mesures. » En d’autres termes, il n’y a pas de meilleure « pilule » que la pratique régulière d’exercice physique pour vieillir en bonne santé, éviter les maladies chroniques graves et limiter la charge financière qui pèse sur notre système de soins de santé.

Aider la population à devenir plus active et moins sédentaire ne doit pas être considéré comme un fardeau ou un coût, mais plutôt comme un puissant investissement qui fera de notre pays une nation en santé, épanouie, progressiste sur le plan environnemental, inclusive et solide d’un point de vue économique.

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